Climatiseur split ou PAC air-air en 2025 ? On fait le point !

Aujourd’hui, lorsqu’on entend le mot “pompe à chaleur”, on pense à un appareil écologique permettant de se chauffer efficacement en été. Par contre, le terme “climatiseur” possède une image bien plus négative, c’est-à-dire celle du “gouffre écologique”. Pourtant, le fonctionnement d’une PAC air-air est très similaire à celui d’un climatiseur split. Vers quoi se tourner à l’heure actuelle pour sa maison alors ? Voici quelques éléments pour vous aider à choisir !

Les points communs de ces deux solutions

Comme nous venons de l’évoquer, les pompes à chaleur air-air et les climatiseurs split reposent sur le même principe. Ils extraient en effet des calories depuis l’air extérieur pour les restituer vers l’intérieur de logement. De même, on trouve à chaque fois au moins une unité extérieure (sorte de bloc blanc rectangulaire) et une unité intérieure que l’on accroche au mur et qui permet de diffuser l’air dans la pièce. Dans tous les cas, nous vous recommandons de faire appel à des professionnels certifiés QualiPac RGE pour ce type d’installation.

La distinction “climatiseur split” et “climatiseur split réversible”

Nous avons volontairement omis d’indiquer un point important : l’aspect “réversible”. En effet, tous les climatiseurs split ne permettent pas de chauffer une pièce. Bon en réalité, cela ne concerne que les modèles bas de gamme, c’est pourquoi certains sites partent du principe que climatiseur split = climatiseur réversible

Quoi qu’il en soit, si vous optez pour un modèle réversible, sachez qu’il n’y a alors aucune différence avec une pompe à chaleur air-air. Les deux sont effectivement capables de rafraîchir en été et de chauffer en hiver. De fait, la véritable question à se poser est la suivante : comment choisir un appareil performant et adapté à mes besoins ?

Les critères à avoir en tête pour bien choisir aujourd’hui

Maintenant qu’on a remarqué que l’appellation avait au final peu d’importance, concentrons-nous sur les caractéristiques techniques. Les voici : 

  • Le coefficient de performance (COP). Cet indicateur mesure l’efficacité d’une PAC en mode chauffage. Il s’agit tout simplement du rapport entre l’énergie produite sous forme de chaleur et celle consommée (c’est-à-dire l’électricité). Aujourd’hui, on utilise davantage le SCOP (coefficient de performance saisonnière) puisqu’il prend en compte les variations de température sur une saison entière. Retenez qu’à partir de 3, un COP (ou SCOP) est considéré comme “bon”.
  • Le coefficient d’efficacité frigorifique (EER). Cette fois-ci, on s’intéresse à l’efficacité de l’appareil en mode froid. Et comme vous auriez pu le deviner, il existe aussi le coefficient d’efficacité frigorifique saisonnière (SEER). Considérez là encore qu’entre 3 et 4, on a affaire à de bonnes valeurs.
  • La puissance nominale (en W). Même si votre PAC dispose d’un très bon coefficient COP et EER, vous risquez d’avoir froid en hiver si elle n’est pas assez puissante. Pour calculer la puissance idéale, il faut donc prendre en compte la surface à chauffer, mais aussi la déperdition énergétique du logement.

En dehors de ces critères de performance, il faut aussi s’intéresser au niveau sonore de l’appareil et aux fonctionnalités. Si vous optez pour un climatiseur split avec des fonctions connectées par exemple, il y a moyen d’augmenter votre confort sans forcément consommer plus !

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